Blog - Antoine Delia

~See you later~

Music Mania #1

Aujourd’hui je lance une nouvelle série appelée Music Mania ! Oui, je sais ce que vous vous dites, c’est la troisième série d’articles que je lance, et vu la régularité des deux précédentes avec seulement deux numéros de Culture Club en cinq mois et un unique article de Reddit Repost, on se dit tout de suite que ce sera sans doute un échec de plus pour ma tentative de régulariser ce blog à un article par semaine.

Hors-la-loi (1/2)

Si l’on met de côte le téléchargement illégal, je suis quelqu’un qui ne transgresse jamais la loi. Même après avoir vu plusieurs fois la série Prison Break, je ne me sentirai pas très à l’aise à l’intérieur d’une cellule et pour éviter cela, je fais en sorte de me conduire comme un citoyen sage ne commettant aucun impair. Tout cela était vrai jusqu’à cette nuit du 15 décembre 2017. L’hiver arrivait et les journées étaient de plus en plus courtes, il faisait donc déjà nuit lorsque je partais pour la soirée d’un ami à moi.

Dernier Jour – Chapitre 3

— Les passagers pour le vol 854 à destination de Shannon sont priés de se présenter porte 5 pour embarquement immédiat. Cela devait bien faire dix ans que je n’avais plus mis les pieds dans un aéroport et j’en avais presque oublié comment cela fonctionnait. Tous ces panneaux écrits une fois en anglais, puis en espagnol, ou encore en chinois, me donnaient le tournis. J’en étais presque à louper mon avion tant j’avais du mal à me repérer dans ce dédale sans fin.

Biais cognitif

Qui n’a jamais entendu l’expression “l’habit ne fait pas le moine” ? Lorsque j’étais plus jeune, je ne saurais dire le nombre de fois que j’ai entendu cette phrase. Aujourd’hui, je ne sais toujours pas ce qu’un moine vient faire dans cette histoire, mais je me suis penché de plus près sur le type de cette phrase. En réalité, elle évoque un mécanisme de la pensée qui cause une déviation du jugement.

Dernier Jour – Chapitre 2

Les techniciens s’affairaient sur le bord de la scène pour démonter tous les équipements. Il y avait de tout, des lampes, des écrans, des canons à fumée et bien évidemment des enceintes aussi lourdes qu’un éléphant. Les festivaliers s’étaient déjà dispersés et quelques personnes commençaient à nettoyer les détritus laissés par les visiteurs. Là aussi on retrouvait un large éventail d’objets en tout genre. Outre les habituels verres et canettes de bières, il y avait aussi des bracelets, des montres et parfois même des téléphones.