I have a dream (8/8)
Précédent Assis dans cette chaise inconfortable de l’hôpital, j’attendais que l’on m’annonce si Sam allait s’en sortir. Mes mains étaient tellement moites que je devais me les essuyer chaque minute. Ma nervosité s’expliquait facilement : mon meilleur ami avait eu une fracture crânienne par ma faute, et je ne pouvais rien faire pour l’aider. Si jamais il ne s’en sortait pas, je ne savais même pas si je pourrais continuer à vivre. C’est dans ce genre de moments où nous sommes…